Plus de 33 500 sites 5G et 60 000 sites 4G autorisés par l’ANFR en France

L’Agence nationale des fréquences (ANFR), qui gère les fréquences radioélectriques, vient de réactualiser son Observatoire des déploiements des réseaux mobiles autorisés sur le territoire français.

Concernant le déploiement de la 5G, l’ANFR a désormais donné des autorisations pour 33 557 sites en France dont 45 sont situés en Outre-Mer. 40 sites viennent notamment d’être autorisés en avril dernier à La Réunion. 24 553 sites sont déjà techniquement opérationnels, selon les opérateurs de téléphonie mobile, la quasi-totalité de ces implantations étant accordée pour des sites déjà utilisés pour la 2G, 3G ou 4G. Seuls 4 sites n’accueillent que de la 5G.

Un site répertorie les sites autorisés

Le déploiement de la 4G concerne, lui, 60 078 sites autorisés par l’ANFR en France, dont 57 023 sont en métropole. 52 270 sont déjà en service. C’est Orange qui détient le plus grand nombre d’implantations (27 883 sites), devant SFR (23 176 sites), puis Bouygues Telecom (23 031) et enfin Free Mobile (21 863 sites).Outre-Mer, 3 055 sites sont autorisés pour la 4G, dont 2 899 sont déjà en service. L’ANFR propose un site internet cartographique, www.cartoradio.fr, qui répertorie avec précision, sur tous les territoires, le déploiement des réseaux mobiles. Il est ainsi possible de zoomer sur une zone pour y voir où sont les sites autorisés par l’ANFR, et pour quel opérateur.

Article publié le 17 mai 2022 – © Les Echos Publishing 2022

Choisir un bon mot de passe pour ses comptes internet

À l’occasion de la journée mondiale du mot de passe, le site www.cybermalveillance.gouv.fr dévoile ses conseils pour aider les internautes à choisir un mot de passe solide lorsqu’ils créent des comptes sur internet.

Difficile aujourd’hui d’échapper à la création de comptes sur internet, qu’il s’agisse de payer ses impôts, de passer des commandes, de consulter ses opérations bancaires ou les réseaux sociaux. Ces comptes sur internet détiennent des informations personnelles qu’il convient de protéger efficacement contre la cybermalveillance. Ils nécessitent notamment de définir des codes d’accès solides et complexes à deviner. Pour la journée mondiale du mot de passe, le site www.cybermalveillance.gouv.fr donne les clés pour choisir un mot de passe efficace.

Utiliser un gestionnaire de mots de passe

Selon Cybermalveillance.gouv.fr, le problème réside souvent dans le fait qu’il faille créer un grand nombre de mots de passe ce qui incite à choisir la solution de facilité : créer un mot de passe générique (genre “123456”), utiliser le même mot de passe pour tous les comptes ou prendre un mot de passe relié à une information personnelle (date de naissance, prénom d’un enfant, etc.). Ces choix sont trop faciles à deviner. Cybermalveillance.gouv.fr explique comment choisir un mot de passe robuste et conseille d’en changer pour chaque site. Il propose également d’en changer au moindre doute ou encore de recourir à un gestionnaire de mot de passe pour plus de facilité.

Pour en savoir plus : https://www.cybermalveillance.gouv.fr/

Article publié le 10 mai 2022 – © Les Echos Publishing 2022

« Connecte ta boîte » en tuto

Connecte ta boîte est un programme TV de France Num sur la transformation numérique des entreprises. Il propose une nouvelle série de vidéos sous forme de tutoriels, dont la première est consacrée à la lutte contre les cyberattaques.

France Num est un dispositif gouvernemental d’accompagnement des TPE et PME dans leur transformation numérique, animé par la Direction générale des Entreprises du ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance. Parmi les actions mises en place, il diffuse, depuis 2018, une série d’émissions de TV diffusées sur BFM TV, BFM Paris, RMC Découverte et RMC Story, racontant l’accompagnement de TPE (commerçants, artisans et indépendants) par des experts pour passer au numérique. La série revient pour une nouvelle saison, cette fois-ci au travers de tutoriels diffusés sur internet.

43 % des cyberattaques visent les TPE

Le principe de base est sensiblement le même : des experts de l’émission prodiguent leurs conseils pour passer au numérique sereinement. Dans le premier épisode, Sanaa Moussaïd, expert-comptable spécialiste de la transformation numérique, donne des clés pour protéger son entreprise sur internet. Car 2 entreprises sur 3 ont déjà subi au moins une tentative de fraude et 43 % des cyberattaques viseraient principalement les petites entreprises. Différentes ressources sont également proposées pour aller plus loin (FAQ, guide pratique, formations en ligne…). Les autres sujets de tuto abordent des situations variées comme : Comment améliorer sa relation client sur internet ; Qu’est-ce que la signature électronique ou encore Comment faire une vidéo de recrutement ?

Pour visionner les tutos : https://www.francenum.gouv.fr/

Article publié le 03 mai 2022 – © Les Echos Publishing 2022

Se former à la sécurité numérique

Parce que la sécurité numérique est l’affaire de tous, l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) a lancé un vaste programme de sensibilisation avec notamment un cours de formation en ligne, le MOOC SecNumacadémie.

Compte tenu de l’impact grandissant des cyberattaques, chaque personne doit pouvoir devenir acteur de sa propre sécurité numérique, qu’il s’agisse d’étudiants, de salariés, de dirigeants d’entreprises, d’élus… Pour l’ANSSI, il est donc indispensable de former le plus grand nombre de citoyens aux enjeux de la cybersécurité. Pour répondre à cet objectif, elle a créé le MOOC SecNumacadémie qui s’adapte aux besoins des différents publics non experts, en proposant des contenus pédagogiques ludiques et accessibles à tout moment, gratuitement.

Une attestation de réussite

Ce MOOC permet de s’initier à la cybersécurité ou d’approfondir ses connaissances, pour pouvoir protéger efficacement ses outils numériques. Il est composé de 4 modules : Panorama de la SSI, Sécurité de l’authentification, Sécurité sur Internet et Sécurité du poste de travail et nomadisme. Le suivi intégral du dispositif de formation permet d’obtenir une attestation de réussite. Une série de tests d’auto-évaluation est en effet proposée à la fin de chaque unité pour juger du niveau de compréhension du sujet. Un score de 80 % à l’évaluation permet de valider l’unité en vue de l’obtention de l’attestation de réussite finale.

Pour en savoir plus : secnumacademie.gouv.fr

Article publié le 28 avril 2022 – © Les Echos Publishing 2022

Lancement de France transfert, un service d’envoi de fichiers, simple et sécurisé

Pour permettre l’échange en ligne de fichiers volumineux avec un établissement public ou une administration, l’État vient de lancer son propre « WeTransfer » public : France transfert.

Il n’est pas rare que dans leurs relations avec l’administration, les entreprises, mais aussi les particuliers, aient à transmettre, pour leurs démarches, des pièces lourdes, qu’il s’agisse d’images ou de dossiers, qui ne passent pas par courriel. Or, avec la dématérialisation, cette transmission en ligne est devenue indispensable. L’État vient donc de développer un outil numérique de transfert de fichiers, solide et fiable, dédié aux échanges inter-administrations et entre les administrations et les entreprises et/ou les particuliers. France Transfert permet, en effet, l’envoi en ligne de fichiers volumineux jusqu’à 20 Go, 2 Go max par fichier, en toute sécurité.

15 000 téléchargements en 2 mois

La seule condition pour utiliser cet outil est que l’une des parties à l’échange, l’expéditeur ou le(s) destinataire(s) soit un agent de l’État. Une vérification est effectuée via l’adresse courriel professionnelle. Il est possible avec France transfert de faire des envois jusqu’à 100 destinataires, d’importer une liste de contacts, et de personnaliser le transfert (mot de passe, objet et message, modalité d’envoi par courriel ou par lien, durée de conservation, etc.). Le service déployé auprès de l’ensemble des agents de l’État et de tous les ministères a déjà enregistré pas moins de 10 500 envois et 15 000 téléchargements ces 2 derniers mois.

Pour en savoir plus : https://francetransfert.numerique.gouv.fr/upload

Article publié le 19 avril 2022 – © Les Echos Publishing 2022

Retour sur la sauvegarde des données de l’entreprise

Adopter une politique de sauvegarde des données reste le meilleur moyen de réduire l’impact d’une attaque informatique ou d’une destruction de matériel.

Une attaque informatique, un incendie, un vol ou une destruction de matériel peuvent rendre inaccessibles ou corrompre des données essentielles au fonctionnement de l’entreprise. Mettre en place un système de sauvegarde opérationnel est la seule parade efficace. Rappel des principales règles à suivre.

Identifier les données critiques

Sauvegarder toutes les données de l’entreprise n’est pas utile. Seules celles qui sont importantes pour son fonctionnement (données clients, données techniques, savoir-faire de fabrication, fiches métiers…) ou qui doivent être conservées en vertu de contraintes légales (contrats de travail, factures…) doivent être sauvegardées. En outre, avec la multiplication des outils (PC portables, tablettes, smartphones, clés USB, objets connectés…), les données de l’entreprise sont de plus en plus éparpillées. Il convient donc de bien recenser tous ces outils et d’identifier les données qu’ils abritent afin de déterminer si elles doivent, ou non, faire l’objet d’une sauvegarde.

Réaliser des sauvegardes régulières

Les opérations de sauvegarde doivent être réalisées régulièrement afin que la copie soit le plus à jour possible au cas où elle devrait être restaurée en raison d’une perte, d’une destruction ou d’une corruption des données. La fréquence de sauvegarde va dépendre de la taille de l’entreprise et surtout du volume de données produit chaque jour. Ce dernier variant principalement en fonction de l’activité de l’entreprise. Les TPE et PME de services, dont l’information constitue à la fois leur matière première et leur produit fini, devront adopter un rythme de sauvegarde soutenu (au pire hebdomadaire, idéalement journalier). Un petit artisan dans le bâtiment ou un restaurateur pourra se contenter d’une opération de sauvegarde mensuelle. Opération au cours de laquelle il sauvegardera, a minima, sa base de devis, sa base de clients, ses échanges avec ses partenaires privés et publics et ses émissions de factures. Un rythme de sauvegarde moins soutenu pourra être adopté pour des données qui évoluent peu comme, par exemple, les données techniques ou les fiches fournisseurs.

Conseil : il convient de rappeler l’importance de disposer de plusieurs copies de la base de données originale. Ainsi, si un fichier corrompu est sauvegardé sans avoir été détecté, il sera possible d’utiliser une copie de sauvegarde plus ancienne pour en retrouver une version saine. Par exemple, en réalisant une copie par jour (lundi, mardi, mercredi, jeudi) et une de plus par semaine (semaine 1, semaine 2…), l’on pourra revenir un mois en arrière avec moins de 10 copies différentes et ainsi accroître ses chances de disposer d’une base de données au sein de laquelle il sera possible de retrouver une version « saine » de tous les fichiers.

Tester les sauvegardes

Même si la quantité de données à sauvegarder est faible, le risque qu’un problème se produise lors de leur copie existe. Il est donc fortement conseillé de procéder régulièrement (une fois tous les 6 mois) à la restauration d’un ensemble de fichiers sauvegardés. Cet exercice présente aussi l’intérêt de s’assurer du bon état des supports de sauvegarde (la durée de vie de ces supports excède rarement 5 ans) et de la bonne maîtrise de la procédure de restauration.

Protéger les sauvegardes

Enfin, parmi les autres règles de prudence à respecter, il est recommandé de ne pas laisser les supports de sauvegarde connectés en permanence au réseau de l’entreprise (pour les préserver des attaques par rançongiciels), et de penser à les stocker dans un lieu sécurisé pour les protéger des vols et des incendies.

Attention à la confidentialité des données : les fichiers sauvegardés, dès lors qu’ils abritent des données à caractère nominatif, doivent être administrés dans le respect du Règlement général sur la protection des données (RGPD). Leur confidentialité et leur protection doivent ainsi être assurées au même titre que les données originales dont ils sont tirés.

Sur quels supports ?

Les sauvegardes doivent permettre un accès simple et rapide aux données. On privilégiera des supports sur lesquels les informations ne sont pas compressées et donc directement lisibles. Il est possible de réaliser des sauvegardes sur des disques durs externes, des clés USB, ou encore en ayant recours à des prestataires extérieurs offrant des espaces de stockage de données en ligne (cloud).

Article publié le 19 avril 2022 – © Les Echos Publishing 2022

Des nouveautés pour Windows 11

Pour convaincre les professionnels d’adopter son nouveau système d’exploitation, Microsoft vient de dévoiler de nouvelles fonctions apportées à Windows 11 qui devraient rendre le système plus sécurisé et plus apte à la productivité.

Lancé en fin d’année 2021, Windows 11 devrait déjà faire l’objet de modifications. Lors d’une conférence dédiée aux entreprises et au travail hybride, Microsoft a annoncé, en effet, des nouveautés qui devraient intéresser les professionnels. Tout d’abord, l’intégration de Windows Cloud PC directement dans Windows 11. L’offre Cloud PC permet aux entreprises d’accéder en streaming à un PC tournant dans le cloud. Windows 11 pourrait bientôt se synchroniser directement avec un PC dans le cloud et permettre de basculer un PC en local sur Cloud PC en un seul clic depuis la barre des tâches, voire démarrer directement sur le Cloud PC sans passer par le bureau de Windows 11.

L’explorateur de fichiers repensé avec des onglets

Autre nouveauté : la gestion d’onglets dans l’explorateur de fichiers pour pouvoir passer rapidement d’un dossier à un autre en changeant simplement d’onglet. Windows 11 proposerait également une nouvelle page d’accueil avec une section Favoris pour accéder plus facilement aux fichiers préférés. Il suffirait d’effectuer un clic droit sur n’importe quel fichier afin de l’ajouter à cette nouvelle section. Enfin, les administrateurs pourraient bientôt envoyer des notifications directement sur le bureau de leurs collaborateurs, à partir du centre d’administration Endpoint Manager. Microsoft n’a toutefois pas indiqué quand ces nouveautés seraient réellement accessibles…

Article publié le 12 avril 2022 – © Les Echos Publishing 2022

Revalorisation de l’aide financière pour les entreprises sans accès à la fibre optique

Le gouvernement a annoncé la revalorisation de l’aide financière versée aux entreprises qui sont installées dans des zones où l’accès à internet en haut débit nécessite une connexion sans fil coûteuse lorsque la fibre optique n’est pas disponible.

Alors que la fibre optique s’installe à grande vitesse en France, il reste des zones non encore équipées et dont le réseau ADSL reste très insuffisant. Pour avoir accès à l’internet à un bon haut débit (au minimum 8 Mbit/s), les particuliers comme les professionnels doivent se doter d’une solution de raccordement sans fil (de type satellite, 4G ou 5G fixe, ou encore THD radio) dont le coût peut être élevé. Dans le cadre du dispositif « cohésion numérique et territoire », l’État proposait déjà une participation à ces frais de connexion, à hauteur de 150 €.

300 à 600 € par demandeur

Ce montant vient d’être revu à la hausse. Il est désormais, depuis le 1er avril 2022, de 300 € et peut aller jusqu’à 600 €, selon les ressources du demandeur. Les modalités d’attribution de cette aide à la connexion n’ont, en revanche, pas changé. « Elles sont automatiques et prises en compte par les fournisseurs d’accès, en fonction du lieu de raccordement » du demandeur, rappelle le communiqué de Service-public.fr. 28 000 zones sont ainsi encore concernées, leur liste est disponible sur le site de l’Agence nationale de la cohésion des territoires (www.amenagement-numerique.gouv.fr), avec les opérateurs correspondants.

Article publié le 05 avril 2022 – © Les Echos Publishing 2022

Cybersécurité : le Cloud rend les entreprises vulnérables !

Selon un rapport récent de l’Agence nationale pour la sécurité des systèmes d’information (ANSSI), les entreprises augmentent leur vulnérabilité en stockant leurs données sur le nuage.

Alors que l’on pourrait penser que les plates-formes de Cloud computing permettent de mieux faire face aux risques de cyberattaques, le rapport de l’ANSSI « Panorama de la menace informatique 2021 », paru ce mois-ci, indique le contraire et pointe plusieurs causes. D’abord, la crise sanitaire a fortement renforcé le recours à ce type de stockage des données depuis 2 ans dans les secteurs public et privé, entraînant mécaniquement une augmentation du niveau de menace pesant sur ses utilisateurs. Les attaquants y trouvent un intérêt notamment dans la puissance de calcul du cloud qu’ils peuvent chercher à détourner à leur profit (par exemple, pour du minage de cryptomonnaies). Le cloud attire également parce qu’il offre des moyens de se propager sans utiliser un code malveillant et sans être détecté.

Des défauts de sécurisation

Pire, l’ANSSI note que des défauts de sécurisation des données sont encore trop souvent constatés, citant une étude de Palo Alto Networks qui a relevé quelque 2 100 instances cloud non sécurisées facilement accessibles en 2020-2021. Enfin, l’agence rappelle que le Cloud peut aussi être source de contraintes et de difficultés lorsque les utilisateurs ne maîtrisent pas l’infrastructure et dépendent du fournisseur de services, avec parfois pour conséquence des modalités de partage de responsabilité opaques, des difficultés d’intervention et d’investigation, de détection et de remédiation des problèmes. Sans compter la localisation des données à l’étranger qui peuvent avoir des conséquences en matière de protection des données et de souveraineté…Pour consulter le rapport : https://www.ssi.gouv.fr/

Article publié le 29 mars 2022 – © Les Echos Publishing 2022

Journée mondiale de la sauvegarde des données informatiques

Le 31 mars correspond à la Journée mondiale de la sauvegarde des données informatiques. À cette occasion, le site www.cybermalveillance.gouv.fr rappelle l’importance de sauvegarder régulièrement ses données numériques.

Chaque année de plus en plus de données sont produites. Selon une étude d’IDC, la quantité totale de données créées et consommées dans le monde était de 64 zetta-octets (ZB) en 2020 (soit 64 000 milliards de giga-octets) et pourrait atteindre plus de 180 ZB en 2025 ! Ce 31 mars 2022 se tiendra la 14e édition de la Journée mondiale de la sauvegarde des données informatiques dont l’objectif est de rappeler les risques encourus de stocker ses données sur un seul appareil. Chaque détenteur d’ordinateurs, de smartphones ou de tablettes est, en effet, incité à réaliser une copie de ses fichiers sur un autre support (disque dur externe, clé USB, cloud…).

Choisir le support le plus adapté

D’autant que les cyberattaques se multiplient entraînant parfois la perte de données qui sont irremplaçables. Une perte qui peut aussi faire suite à des aléas du quotidien (matériel endommagé, volé…). C’est pourquoi le site www.cybermalveillance.gouv.fr a souhaité refaire le point sur la sauvegarde des données informatiques afin d’éviter de tout perdre. Il propose notamment une fiche pratique sur les 10 bonnes pratiques à adopter pour gérer efficacement ses sauvegardes, qui vont du choix du support le plus adapté au test des sauvegardes, en passant par la planification des actions de sauvegarde. Des vidéos sont également disponibles pour tout savoir de la sauvegarde de données.Pour en savoir plus : www.cybermalveillance.gouv.fr

Article publié le 22 mars 2022 – © Les Echos Publishing 2022