Un nouveau moteur de recherche basé sur l’intelligence artificielle avec Google Bard

Face à ChatGPT, le chatbot d’OpenAI, Google dévoile sa nouvelle technologie d’intelligence artificielle Google Bard. Ce service conversationnel sera intégré au moteur de recherche pour apporter des réponses complexes et de haute qualité.

Alors que ChatGPT vient d’être intégré dans les produits de Microsoft, Google présente sa solution alternative basée sur une nouvelle technologie d’intelligence artificielle. Google Bard permettra d’offrir des réponses plus élaborées et conversationnelles aux requêtes lancées via les outils de recherche de Google. Il devrait, en effet, simuler des conversations en s’appuyant sur un mélange de traitement de langage naturel et d’apprentissage automatique afin d’apporter des réponses réalistes aux questions qui lui seront posées. À la différence de ChatGPT dont la base de données des connaissances ne dépasse pas 2021, Bard puisera dans le web les informations pour pouvoir fournir des réponses toujours actualisées.

Utile pour les petites entreprises

Bard pourra également être intégré à des sites web, des plates-formes de messages, des applications… Cet outil pourrait s’avérer particulièrement utile pour les petites entreprises qui souhaitent offrir une assistance en langage naturel à leurs clients sans avoir à recruter une grande équipe de collaborateurs. Le service conversationnel de Google est encore en développement et uniquement ouvert pour le moment à un nombre limité de bêta-testeurs, mais il devrait être déployé plus largement dans les prochaines semaines.

Article publié le 28 février 2023 – © Les Echos Publishing 2022

Arnaques : le gouvernement met en garde contre les arnaques par SMS

Les arnaques par SMS se multiplient et sont de plus en plus difficiles à identifier. Pour aider les utilisateurs à reconnaître les plus récentes et savoir comment les éviter, le gouvernement détaille comment agir sur le site www.service-public.fr.

Les arnaques par SMS fonctionnent souvent sur le même principe : amener l’utilisateur à cliquer sur un lien qui récupérera ses données personnelles. Il peut s’agir d’un colis à récupérer, d’un mot de passe à changer, voire d’une démarche administrative à effectuer car de nombreux services publics voient leur identité régulièrement usurpée. L’État a identifié les SMS les plus courants qui circulent actuellement et indique pour chacun le message véhiculé et le risque encouru.

Les sites officiels se terminent toujours par gouv.fr

Il détaille ainsi le retard de paiement d’une amende, la demande d’indemnité carburant, l’achat de la Vignette Crit’air… Le site Service Public explique ensuite comment reconnaître une arnaque, en vérifiant par exemple la présence de fautes d’orthographe, mais surtout en regardant l’adresse du lien (url), qui doit obligatoirement finir par « gouv.fr » s’il s’agit d’un site officiel. Il faut également vérifier la mention « https » dans l’adresse du site. Il rappelle qu’aucune administration ne demande les données bancaires ou les mots de passe par message électronique ou par téléphone.

Pour en savoir plus : https://www.service-public.fr/

Article publié le 21 février 2023 – © Les Echos Publishing 2022

Baromètre du numérique, édition 2022

L’Arcep vient de publier les résultats du dernier Baromètre du numérique, une étude bisannuelle réalisée par le CREDOC, sur la diffusion des équipements numériques en France et l’évolution de leurs usages.

Selon le baromètre, l’année 2022 voit la multiplication des équipements continuer, notamment les objets connectés (domotique, électronique, santé, sécurité) et les enceintes connectées qui connaissent une progression de 7 points par rapport à 2020 (à respectivement 40 % et 27 %). On note aussi que désormais 87 % des Français disposent d’un smartphone (+3 points par rapport à 2020). 92 % d’entre eux l’utilisent pour naviguer sur internet (+5 points), 89 % pour envoyer des messages (+10 points) et 78 % pour simplement téléphoner (+11 points).

Progression des connexions à la fibre

Les achats en ligne continuent également leur essor avec 8 personnes sur 10 qui déclarent avoir effectué au moins un achat de ce type au cours de l’année 2022 (77 %, +1 point par rapport à 2020). 56 % des sondés ont un accès internet en fibre optique ou via le réseau câblé très haut débit (+17 points par rapport à 2020). Il existe toutefois de fortes disparités selon le lieu d’habitation : 72 % de ceux habitant en agglomération parisienne sont connectés en fibre ou câble, contre seulement 34 % dans les communes rurales. Le Baromètre du numérique s’intéresse également à l’empreinte environnementale des équipements. Il relève notamment que les terminaux (téléviseurs, smartphones, ordinateurs, tablettes, etc.) représentent désormais de 65 à 90 % de l’impact environnemental du numérique.

Pour consulter le baromètre : www.arcep.fr

Article publié le 15 février 2023 – © Les Echos Publishing 2022

Cybersécurité : la menace reste présente mais les entreprises résistent mieux

Le dernier baromètre du Cesin (Club des experts de la sécurité de l’information et du numérique) met en lumière une baisse des cyberattaques réussies en 2022. Un recul qui s’explique par une meilleure anticipation et des investissements soutenus dans la cybersécurité.

Une baisse notable des cyberattaques réussies

45 % des entreprises ont subi une cyberattaque réussie en 2022, contre 54 % en 2021.

Réalisé par OpinionWay pour le compte du Cesin depuis 2015, le Baromètre de la cybersécurité permet, chaque année, de dresser un bilan du combat que mènent les entreprises membres de ce club contre les cyberattaques. Des entreprises, à 89 % composées d’ETI et de grandes entreprises, les cibles privilégiées des pirates informatiques. Premier enseignement de cette enquête : 45 % des sondés ont subi au moins une cyberattaque réussie en 2022, c’est-à-dire une attaque qui n’a pas pu être arrêtée par les dispositifs de protection ou de prévention. Pour rappel, ce taux ne cesse de décroître ces dernières années : 65 % en 2019, 57 % en 2020, 54 % en 2021.

Toujours le phishing

Lorsqu’on les interroge sur le type d’attaques qu’elles ont subi, le phishing est cité par 74 % des entreprises victimes. Pour rappel, le phishing (hameçonnage en français) est une technique qui permet à des pirates de se faire passer pour une banque, un fournisseur ou encore une institution publique auprès d’une entreprise ou d’un particulier afin d’obtenir des informations sensibles (coordonnées bancaires, mots de passe…) ou d’introduire un logiciel malveillant dans un système informatique. Basée sur l’usurpation de l’identité d’un tiers de confiance, cette technique d’attaque est difficile à contrer, ce qui explique son succès. Les autres vecteurs d’attaques les plus souvent évoqués par les entreprises sont les vulnérabilités logicielles ou les défauts de configuration (45 %) utilisés par les pirates, la fameuse arnaque au président (41 %) qui, comme son nom l’indique, consiste à se faire passer pour un dirigeant de la société afin de « forcer » un salarié de l’entreprise à mettre en œuvre un paiement qui sera détourné, et enfin, les intrusions dans le réseau informatique de l’entreprise (33 %).

L’erreur humaine

Sur les causes des incidents constatés, le bilan dressé par les entreprises reste le même d’année en année. Le premier risque mis en avant est, une fois encore, pour cette 8e édition du baromètre, l’erreur de manipulation/de configuration ou la négligence d’un administrateur interne ou d’un salarié (38 %). On pointe ici les difficultés que peuvent éprouver les salariés pour poursuivre les objectifs métiers qui sont les leurs tout en respectant des procédures de prévention et de sécurité toujours plus lourdes et complexes. L’enquête note d’ailleurs que le recours au Shadow IT, c’est-à-dire l’utilisation par un salarié d’une application ou d’un matériel informatique souvent plus convivial ou performant que les solutions fournies mais non approuvées par la DSI est cité parmi les principales causes d’attaques informatiques (35 %) en 2022.

Un impact sur le business 6 fois sur 10

Si, dans 40 % des cas, une cyberattaque réussie n’a pas entraîné de perturbation, 6 fois sur 10, elle a eu un impact notable sur le business de l’entreprise victime. L’arrêt temporaire de la production, fréquent lors des attaques par rançongiciel (logiciel qui crypte les données informatiques, lesquelles ne pourront être déchiffrées qu’après le paiement d’une rançon), est cité par 24 % des répondants. Suivent la compromission de données (14 %), l’impact médiatique (14 %), l’indisponibilité du site web (13 %) ou encore les pertes financières liées à des transactions frauduleuses (9 %).

Des dispositifs de protection plus performants

L’adoption d’outils plus efficaces et une meilleure sensibilisation des collaborateurs expliquent la baisse du nombre de cyberattaques réussies.

88 % des entreprises interrogées estiment que les solutions et services de sécurité proposés sur le marché sont adaptés à leurs besoins (contre 86 % en 2021). « Une place prépondérante est donnée aux outils de détection et de réponse aux incidents. L’authentification multi-facteurs concerne 81 % des entreprises et est réputée performante. C’est d’autant plus important que 33 % des attaques ont conduit à des usurpations d’identités », précisent les auteurs de l’enquête. Près de 15 solutions différentes ont été adoptées, en moyenne, par les entreprises interrogées.Mais les solutions techniques ne sont pas les seules qui sont déployées dans les entreprises. La sensibilisation des collaborateurs est également au programme. L’enquête révèle ainsi que dans la lutte contre les rançongiciels, elle apparaît, avec 82 % des citations, comme le premier dispositif de défense mis en œuvre en 2022. Suivent le déploiement d’un EDR (Endpoint Detection & Response) (71 %) et celui d’outils de détection des vulnérabilités (68 %).On note également que plus de la moitié des entreprises (51 %) déclarent avoir déjà mis en place un programme d’entraînement pour faire face à une cyber-crise. Pour rappel, le taux n’était que de 44 % en 2021, signe que l’exercice prend désormais toute sa place dans les plans de reprise d’activité (PRA) établis par ces entreprises. Enfin, le budget consacré à la cybersécurité tend à légèrement augmenter. Ainsi, alors que seules 44 % des entreprises en 2021 avaient affecté 5 % ou plus de leur budget IT à la sécurité, en 2022, le ratio croît d’un point à 45 %. L’enquête révèle également que 67 % des entreprises interrogées ont souscrit une cyber-assurance et que 51 % d’entre elles envisagent de la renouveler, contre 20 % qui songent à abandonner cette solution.

Article publié le 07 février 2023 – © Les Echos Publishing 2022

Les webinaires de la CNIL en 2023

La CNIL organise une série de webinaires à destination des professionnels dont le planning du 1er semestre vient d’être publié. Ces webinaires sont gratuits et proposent de décrypter un sujet ou une actualité en lien avec la protection des données.

Parce que la gestion des données personnelles et leur conformité au RGPD sont des sujets complexes pour les entreprises, la CNIL propose des webinaires gratuits en lien avec la protection des données. Animés par des agents de la CNIL, ils durent environ 45 minutes. À la fin de la présentation, les participants ont la possibilité de poser des questions et d’échanger avec les agents.

Un sujet différent abordé tous les mois

Ouverts à tous, ces webinaires vont aborder différents sujets au 1er semestre 2023, tels que « L’instruction par la CNIL des demandes d’autorisation relatives aux traitements dans le domaine de la santé », « Économie et régulation des données personnelles », « Recrutement : de nouveaux outils proposés par la CNIL », ou encore « Le partage de données par API (interface de programmation d’application) : les recommandations de la CNIL »… À raison d’un webinaire par mois, l’inscription est obligatoire et se fait en amont sur le site de la CNIL (places limitées).

Pour en savoir plus : www.cnil.fr

Article publié le 07 février 2023 – © Les Echos Publishing 2022

Cybermenaces : un niveau toujours élevé en 2022

L’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) vient de publier son Panorama de la cybermenace 2022. Sans surprise, les tendances de menaces identifiées en 2021 se sont confirmées en 2022.

Pour l’ANSSI, le niveau général de la menace est resté élevé en 2022, avec l’utilisation de méthodes et outils plus performants, qui s’inspirent des méthodes criminelles. Visant de moins en moins des opérateurs régulés mais plutôt des entités moins bien protégées, notamment en périphérie des cibles (prestataires, fournisseurs, sous-traitants, organismes de tutelle…), les cyberattaquants ont le plus souvent cherché à obtenir des accès discrets aux réseaux de leurs victimes, en compromettant des équipements périphériques (pare-feu ou routeurs).

Augmentation des attaques par « déni de service distribué »

Ont ainsi été particulièrement visés en 2022 les TPE, PME et ETI (40 % des rançongiciels traités ou rapportés à l’ANSSI), les collectivités territoriales (23 %) et les établissements publics de santé (10 %). À noter que le contexte de l’invasion russe en Ukraine crée une situation propice à l’augmentation des actions de déstabilisation en Europe. L’ANSSI note notamment une augmentation des attaques par « déni de service distribué » (attaque dans laquelle de nombreux systèmes sont compromis pour attaquer une seule cible, afin de submerger les ressources du serveur et de bloquer les utilisateurs légitimes), par sabotage informatique ainsi que des opérations informationnelles s’appuyant sur des compromissions de systèmes d’information.

Pour consulter le rapport : www.ssi.gouv.fr

Article publié le 31 janvier 2023 – © Les Echos Publishing 2022

Webinaire : sécurité des systèmes d’IA, enjeux et bonnes pratiques

La CNIL vient de mettre en ligne le replay d’un webinaire proposé en fin d’année dernière concernant un sujet d’actualité en lien avec la protection des données : la sécurité des systèmes d’intelligence artificielle.

L’intelligence artificielle (IA) se développe partout et dans tous les domaines pour révolutionner notre quotidien notamment au travers de nouveaux produits ou services. Elle repose sur des algorithmes nécessitant principalement l’utilisation de nombreuses données, souvent personnelles, ce qui engendre des risques de sécurité spécifiques par comparaison avec des systèmes d’information classiques. D’autant que les capacités d’apprentissage automatique (machine learning) augmentent la surface d’attaque de ces systèmes, en introduisant de nouvelles vulnérabilités.

Envisager les attaques et défaillances des systèmes d’IA

Pour aider les entreprises à mieux comprendre les nouveaux enjeux de ces dispositifs et à sécuriser les systèmes d’IA qu’elles mettent en place, la CNIL propose un webinaire qui leur permettra de répondre à de nombreuses questions comme : Comment envisager les attaques et défaillances possibles de son système d’IA en pratique ? Quelles mesures mettre en œuvre pour les limiter ?

Pour regarder le webinaire : www.cnil.fr

Article publié le 24 janvier 2023 – © Les Echos Publishing 2022

Réduction des redevances pour les réseaux privés 4G/5G à usages industriels

Un décret réduisant les redevances pour les fréquences en bande 2,6 GHz TDD utilisées par les professionnels est entré en vigueur le 5 janvier dernier afin d’assurer le développement de cet usage.

La 5G permet aux entreprises de bénéficier d’un débit très élevé et donc d’améliorer la fiabilité des processus industriels qui s’appuient de plus en plus sur l’automatisation des systèmes de production. Mais pour gagner en efficacité et renforcer la sécurité des connexions, des industriels préfèrent disposer de leur propre réseau 5G. Or, un rapport de la mission 5G industrielle demandée par le gouvernement relevait l’an passé que le coût des redevances dues pour l’utilisation de fréquences sur la bande 2,6 GHz TDD, essentielles à la mise en place de réseaux privés 4G/5G dans l’industrie, était perçu comme un obstacle majeur à leur utilisation.

Une réduction importante pour les petites surfaces

Pour renforcer son action en faveur du développement de la 5G industrielle, le gouvernement vient de publier un décret réduisant substantiellement le montant des redevances dues pour l’utilisation de ce type de fréquences. Cette réduction peut atteindre un facteur supérieur à 100, en particulier pour les petites surfaces. Concrètement, pour mettre en œuvre des réseaux privés 4G/5G sur leurs implantations, les entreprises doivent faire une demande à l’ARCEP (Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse) qui devra s’assurer de la bonne coexistence entre ces réseaux privés avec les autres utilisateurs de fréquences sur le territoire national.

Article publié le 17 janvier 2023 – © Les Echos Publishing 2022

Un rapport sur le Débit d’Absorption Spécifique des portables en 2021

L’Agence nationale des fréquences (ANFR) a publié, en décembre dernier, l’analyse des mesures de DAS (Débit d’Absorption Spécifique) réalisées en 2021 sur des téléphones portables de marques différentes. Plusieurs téléphones ont dépassé les limites réglementaires.

Comme tous les ans, l’ANFR analyse le DAS de téléphones portables dans le cadre de sa mission de contrôle de l’exposition du public aux ondes électromagnétiques et de surveillance du marché. Pour l’année 2021, ce sont 141 téléphones qui ont ainsi été passés au crible (contre 95 l’année précédente) de 31 marques différentes, parmi lesquels des appareils 5G (42 %). Ces téléphones ont été prélevés dans des points de vente en France, et correspondent à plus de 85 % des ventes, selon l’indice GfK.

3 téléphones non conformes

135 appareils ont été contrôlés en DAS tronc (mesures réalisées à une distance de 5 mm), 14 en DAS tête (mesures réalisées au contact à l’oreille) et 132 téléphones en DAS membre (mesures réalisées à une distance de 0 mm). Concernant les mesures DAS tête, aucune non-conformité n’a été constatée. Pour les mesures DAS tronc, 2 téléphones ont dépassé la limite règlementaire. Quant aux mesures DAS membre, ce sont 3 téléphones qui n’étaient pas conformes. Les terminaux non conformes ont fait l’objet de procédures de mise en conformité et ont reçu une mise à jour logicielle qui a mis fin à la non-conformité. Les téléphones concernés étaient : EssentielB Heyou 40, EssentielB Heyou 60 et Realme 7i (RMX2193).

Pour consulter le rapport : www.anfr.fr

Article publié le 10 janvier 2023 – © Les Echos Publishing 2022

Un rapport sur la vérification d’identité à distance

Pratique et rapide, la vérification d’identité à distance soulève toutefois de nombreux défis en matière de sécurité pour faire face aux menaces d’attaque et d’usurpation. L’ANSSI et le BSI viennent de publier un rapport sur les différents procédés utilisés.

La vérification d’identité permet de garantir la sécurité, la confidentialité et la confiance dans les interactions sur internet. Elle contribue à prévenir les fraudes, le vol d’identité et l’utilisation abusive des données personnelles. À ce titre, différentes méthodes et technologies (reconnaissance faciale, utilisation de bases de données publiques ou privées…) peuvent être utilisées pour comparer et corroborer les informations fournies. Et compte tenu des enjeux, il est aujourd’hui primordial d’évaluer et de garantir l’intégrité de ces moyens d’identification numérique à distance.

Les risques liés à la biométrie

L’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) et l’Office fédéral allemand pour la sécurité de l’information (Bundesamt für Sicherheit in der Informationstechnik – BSI) viennent de publier un rapport sur ce thème. Cette publication conjointe aborde les risques liés à la biométrie et aux documents d’identité, les vecteurs d’attaque et les menaces à distance qui doivent être pris en compte ainsi que les systèmes d’information des prestataires de services de vérification d’identité (y compris les applications web et mobiles utilisées dans le processus de vérification).Pour consulter le rapport (en anglais) : https://cyber.gouv.fr

Article publié le 09 janvier 2023 – © Les Echos Publishing 2024