Fraude en ligne : des consommateurs toujours plus inquiets

Face à l’augmentation des fraudes en ligne, 40 % des consommateurs manifestent de plus en plus d’inquiétude lorsqu’ils effectuent des achats en ligne.

Basée sur le sondage de 4 000 consommateurs et 400 commerçants au Royaume-Uni, en France, en Allemagne et aux États-Unis, une récente étude réalisée par Riskified, un éditeur de solutions anti-fraude, s’est penché sur leur niveau de confiance en matière d’e-commerce. Des chiffres qui laissent apparaître, avant tout, combien la fraude en ligne est répandue et son impact financier important. On apprend, par exemple, que 51 % des commerçants en France déclarent avoir constaté une augmentation des tentatives de fraude depuis le début de la pandémie, principalement par fausse carte bancaire (42 %) et via des piratages de compte (39 %). Des fraudes qui, pour 34 % des commerçants interrogés, ont été responsables d’une perte de 5 % à 10 % de leurs revenus e-commerce en 2020.

Une moindre confiance des clients

Autres chiffres intéressants : ceux qui mettent en avant une différence de perception entre les professionnels et leurs clients. Ainsi, si 55 % des commerçants pensent être en mesure de prévenir la fraude en ligne, seuls 34 % des consommateurs estiment qu’ils en sont capables. Dans le même esprit, alors que 39 % des professionnels considèrent qu’ils font le maximum pour prévenir le risque de fraude en ligne, uniquement 1 consommateur sur 5 partage cet avis… Une perte de confiance qui ne doit pas être prise à la légère par les professionnels car 40 % des consommateurs français avouent être de plus en plus inquiets lorsqu’ils effectuent des achats en ligne. 38 % allant même jusqu’à affirmer qu’ils n’achèteraient plus sur un site où leur compte a été piraté.

Article publié le 01 septembre 2021 – © Les Echos Publishing 2021

Un nouveau dispositif en cas de cyberattaque

Le gouvernement vient de lancer un nouveau dispositif d’alerte à destination des petites entreprises en cas de cyberattaques. Son objectif : permettre aux structures les plus fragiles de réagir le plus rapidement possible.

Alors que la cybercriminalité augmente de plus en plus, particulièrement dans le contexte de crise sanitaire qui a multiplié les usages du numérique dans les entreprises, ces dernières sont peu armées pour y faire face et doivent renforcer leurs dispositifs de sécurisation. L’une des clés afin de résister à ces dangers : la rapidité d’information pour mieux se protéger et donc limiter l’impact des cyberattaques. C’est dans ce cadre que le gouvernement met en place un dispositif permettant d’informer rapidement les petites entreprises lors d’attaques collectives.

Diffusion rapide d’une notice

Concrètement, lorsqu’une vulnérabilité ou une campagne d’attaque sera identifiée, une notice sera rédigée par le dispositif national d’assistance aux victimes Cybermalveillance.gouv.fr et l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI). Cette notice sera immédiatment transmise aux organisations interprofessionnelles (MEDEF, CPME et U2P), aux réseaux consulaires des Chambres de Commerce et d’Industrie (CCI) et des Chambres de Métiers et de l’Artisanat (CMA), au dispositif public France Num, qui la diffuseront le plus largement possible aux entreprises avec lesquelles elles sont en relation afin qu’elles puissent prendre des mesures pour empêcher ou traiter l’attaque. « D’autres acteurs en mesure de diffuser la notice auprès des entreprises pourront être ultérieurement intégrés au dispositif », précise le gouvernement.

Article publié le 24 août 2021 – © Les Echos Publishing 2021

Associations et fondations : quelle présence sur les réseaux sociaux ?

Facebook reste le numéro un des réseaux sociaux en 2021 pour les associations et fondations du secteur de la générosité.

France Générosités vient de publier son Baromètre 2021 des réseaux sociaux des associations recensant l’utilisation de ces outils par 53 associations et fondations du secteur de la générosité. Premier constat, toutes ces structures ont un compte Facebook et presque toutes (98 %) sont présentes sur Twitter, Instagram et LinkedIn. YouTube est le dernier de la liste puisque « seulement » 94 % de ces associations et fondations y sont actives. Quant au nombre d’abonnés, Facebook occupe là encore le haut du podium avec 10,7 millions d’abonnés cumulés pour ces 53 structures. Suivent ensuite Twitter (4,1 millions), Instagram (1,6 million), LinkedIn (1,4 million), puis YouTube (534 000 abonnés). Facebook confirme sa place de leader avec le nombre moyen d’abonnés par page (203 022 abonnés). Twitter (77 578 abonnés) et Instagram (30 815 abonnés) complètent le trio de tête. Les associations et fondations comptent, en moyenne, sur LinkedIn et YouTube respectivement 26 386 et 10 076 abonnés.

À noter : entre 2020 et 2021, le nombre d’abonnés sur les pages des 53 associations et fondations a connu une très forte progression sur LinkedIn et Instagram (respectivement +72 % et +50 %).

Article publié le 23 août 2021 – © Les Echos Publishing 2021

Baromètre des usages numériques et de la déconnexion

La start-up Mailoop, spécialisée dans l’amélioration des pratiques digitales, vient de lancer un baromètre des usages numériques et de la déconnexion. Une bonne façon de constater sur le terrain comment se passe l’utilisation du numérique dans le monde du travail.

La première édition du Baromètre des usages numériques et de la déconnexion est en ligne. Il est basé sur 40 millions d’échanges de mails et 1 million de réunions étudiés à la loupe par Mailoop pour décrypter la réalité des pratiques numériques en entreprise. Selon elle, ces statistiques n’ont aucune ambition de représentativité, mais seulement de transparence pour faire avancer la réflexion sur ces sujets. On apprend ainsi qu’en moyenne 30 e-mails sont reçus et 11 e-mails sont envoyés chaque jour par chaque travailleur, avec des disparités en fonction des profils concernés. Par exemple, les dirigeants reçoivent quotidiennement 63 e-mails. Parmi ces e-mails, 84 % sont internes à l’organisation et 27 % d’entre eux ne sont jamais lus ! 23 % sont, quant à eux, envoyés en dehors des horaires dits « normaux », c’est-à-dire les matins, soirs et week-ends. Bien loin du droit à la déconnexion prévu par une loi de 2017… Concernant les réunions, seulement 4 % des invitations à des réunions sont refusées contre 37 % qui restent sans réponse. Et pendant une heure de réunion, quelque « 2,8 e-mails » sont envoyés…

Pour consulter le baromètre : www.barometre-des-usages-numeriques.com

Article publié le 19 août 2021 – © Les Echos Publishing 2021

Comprendre le bitcoin en 7 questions/réponses

Né en 2008 d’un créateur inconnu, le bitcoin ne cesse de se développer, suscitant autant l’intérêt que le rejet.

Qu’est-ce que le bitcoin ?

Le bitcoin est une monnaie électronique émise et contrôlée non pas par une banque centrale comme l’euro, le dollar ou le yen, mais par un algorithme présent sur un réseau informatique décentralisé (composé d’une multitude d’ordinateurs reliés les uns aux autres sans serveur). Pour ses créateurs, cette décentralisation fait du bitcoin une monnaie qui ne peut être instrumentalisée par les États. Sa valeur n’est donc définie que par l’offre et la demande. Le principe de fonctionnement du bitcoin a été rendu public en 2008 par Satoshi Nakamoto (on ignore qui se cache derrière ce pseudonyme).

Pourquoi dit-on qu’il est inviolable ?

Pour garantir l’inviolabilité du mécanisme de création de monnaie et des échanges réalisés en bitcoins, ses créateurs ont utilisé un algorithme, baptisé blockchain (chaîne de blocs), dont le fonctionnement est sécurisé et transparent. Sur le principe, chaque fois qu’une opération intervient en bitcoins, elle est validée, cryptée, puis enregistrée dans un bloc qui va être relié à la fameuse chaîne qui n’est autre qu’une base de données morcelée consultable par tous. Toutes les opérations réalisées en bitcoins depuis 2009 y sont enregistrées.

La fameuse blockchain empêche-t-elle les vols de bitcoins ?

Malheureusement non. La blockchain offre une protection robuste du cœur du système en enregistrant, de manière indélébile, toutes les créations de bitcoins et l’ensemble des échanges. En revanche, elle ne peut garantir le bon fonctionnement et l’inviolabilité des intermédiaires techniques (les fameuses plates-formes dont les plus connues sont Coinbase, Binance ou encore Kraken). Des plates-formes par lesquelles chaque acheteur/vendeur de bitcoins ou de toute autre cryptomonnaie va devoir passer. Une de ces plates-formes, Poly Network, spécialisée dans l’interopérabilité des blockchains, a d’ailleurs récemment été victime d’un piratage record de 600 M$. Et si tout s’est bien terminé cette fois pour les détenteurs de cryptoactifs utilisant cet outil (le pirate a rendu les cryptoactifs en contrepartie d’une prime de « bug » de 500 K$), ce n’est pas toujours le cas. En août 2016, Bitfinex, un autre intermédiaire, s’était ainsi fait dérober près de 120 000 bitcoins. L’équivalent de 69 M$ de l’époque et de 5,4 Md$ au cours actuel du bitcoin…

Existe-t-il d’autres cryptomonnaies que le bitcoin ?

Le bitcoin est la plus ancienne et la plus connue des monnaies électroniques, mais ce n’est pas la seule. CoinMarketCap, le site de suivi des prix des cryptoactifs en recensait, le 15 août dernier, pas moins de 6 061 pour un montant global de 1 990 Md$. Près de 44 % de ces presque 2 000 Md$ de capitalisation sont représentés par des bitcoins et 19 % par les Ethereums, autre cryptomonnaie vedette.

Que peut-on acheter avec des bitcoins ?

Un certain nombre de commerçants dans le monde acceptent les paiements en bitcoins. Toutefois, cet usage « monétaire » est devenu très minoritaire. Désormais, le plus souvent, le bitcoin est détenu, sur du long terme, comme un actif susceptible de générer de fortes plus-values à la revente. Et pour cause : son cours, défini par l’offre et la demande, est passé, en seulement 11 ans, de 0,01 $ à plus de 45 000 $. Une évolution astronomique (jalonnée de crises) qui aiguise l’appétit des investisseurs et inquiète certains économistes qui craignent qu’un jour, cette bulle n’éclate. Une bulle qui pesait, à la mi-août, autour de 860 Md$ !Pour mémoire, la valeur des cryptomonnaies n’est pas toujours basée sur l’offre et la demande. Certains cryptoactifs, appelés « stablecoins » sont adossés à des actifs traditionnels ce qui les rend peu volatiles (même si aucune garantie de cours n’est offerte à leur détenteur). C’est le cas notamment du tether dont la valeur est en grande partie basée sur celle du dollar. Les tethers sont d’ailleurs régulièrement utilisés par les investisseurs dans les cryptoactifs comme valeur refuge. Selon CoinMarketCap, le tether est la cryptomonnaie qui enregistre les plus gros volumes d’échanges quotidiens devant le bitcoin.

Qui émet les bitcoins ?

L’administration de cette cryptomonnaie est « assurée » directement par certains utilisateurs. Concrètement, ces personnes mettent à disposition la puissance de calcul de leurs équipements informatiques. Cette puissance de calcul est alors utilisée pour réaliser les opérations de validation des transactions qui garantissent « l’inviolabilité » de la blockchain sur laquelle s’appuie la monnaie électronique. En contrepartie, ces « mineurs » (c’est ainsi qu’ils sont appelés) se voient attribuer des unités monétaires, créées pour l’occasion. Aujourd’hui, il existe un peu plus de 18,7 millions de bitcoins. Au total, 21 millions de bitcoins seront « frappés » à échéance 2140.

Est-ce que les bitcoins polluent ?

Le processus de validation des transactions réalisées en bitcoins nécessite, pour garantir leur inviolabilité, des calculs très lourds qui mobilisent de très nombreux ordinateurs reliés à la blockchain. Selon l’université de Cambridge, en 2021, la consommation électrique pour gérer le réseau bitcoin pourrait dépasser les 100 TWh, soit l’équivalent de 25 % de la consommation de la France !

Article publié le 18 août 2021 – © Les Echos Publishing 2021

Salon de la Digital Workplace : pour optimiser l’environnement numérique de travail

Comment mettre en place un environnement numérique de travail optimum, c’est le thème du prochain salon Salon Digital Workplace du 7 au 9 septembre prochains à Paris, qui parlera de l’intranet, de la mobilité, du travail collaboratif et du RSE.

Avec la crise, les entreprises ont pris conscience que le travail hybride va devenir la norme. Selon l’Observatoire Future of Work 2021, 8 organisations sur 10 qui ont favorisé le télétravail pendant la crise, prévoiraient de le faire perdurer. Le nombre de collaborateurs concernés par le télétravail passerait de 11 % avant la crise à 42 % dans les semaines à venir. Et une société sur deux prévoirait de réaménager ses bureaux avec des espaces dédiés aux réunions à distance.Pour accompagner les entreprises dans ce changement, le salon Digital Workplace veut apporter des réponses sur comment mettre en place de nouvelles façons de travailler, plus efficaces, plus agiles, encourager l’engagement collaborateurs et exploiter des styles et technologies orientées performance, via les technologies et les médias sociaux d’entreprise, les applications RH et les outils de réunions virtuelles.Pour en savoir plus : https://www.salon-intranet.com/

Article publié le 12 août 2021 – © Les Echos Publishing 2021

Pas de succès pour l’identifiant numérique unique FranceConnect

Un arrêté de mai 2020 proposait aux entreprises de tester pendant un an l’intégration de FranceConnect sur leur site, un mécanisme d’identification en ligne de l’État. À l’issue des 12 mois, force est de constater que ce dispositif n’a pas convaincu les acteurs privés.

Lancée en mai 2020, l’expérimentation ne concernait que les secteurs de la santé, des transports, de la location, de l’éducation et du social. Pour rappel, FranceConnect est un dispositif d’identification d’accès à des services numériques qui garantit la sécurisation des informations transmises. Il permet à la fois de faciliter l’accès à de nouveaux services en évitant la création d’identifiant dédiés, de disposer d’informations vérifiées sans avoir à gérer des identifiants/mots de passe et d’offrir à ses clients un dispositif sécurisé. Si l’expérimentation a suscité au début l’intérêt des plates-formes de rendez-vous médicaux, de cliniques et de laboratoires pour leurs espaces de consultations de résultats d’analyse, elle s’est depuis essoufflée alors que pourtant près de 26 millions de Français ont créé leur compte FranceConnect. Compte tenu du contexte difficile pour les entreprises actuellement, la direction interministérielle du numérique (Dinum) a choisi de laisser encore un an pour expérimenter ce dispositif. Pour en savoir plus : https://franceconnect.gouv.fr/

Article publié le 03 août 2021 – © Les Echos Publishing 2021

La Business Intelligence décodée pour les petites entreprises

Spécialisée dans l’édition de solutions de Business Intelligence (BI) pour les PME, Report One vient de publier un livre blanc pour rendre la BI accessible et intelligible aux petites et moyennes entreprises.

La BI désigne l’ensemble des outils permettant aux entreprises d’analyser leurs données au profit de leurs prises de décisions. Jusqu’à récemment, elle intéressait principalement les métiers de la finance et de la vente. Mais depuis peu, elle est devenue un sujet transverse concernant les ressources humaines, la production, la logistique… y compris dans les plus petites entreprises. Les solutions de BI ont d’ailleurs aussi évolué et se déclinent désormais en versions plus simples d’accès pour les TPE. Pour Report One, celles-ci doivent prendre conscience du potentiel de leur data et combien leur utilisation permettra d’améliorer leur gestion et leur stratégie. Notamment dans ce contexte de crise qui nécessite plus que jamais de piloter son entreprise en temps réel. Pour les accompagner dans cette transformation, l’éditeur vient de publier un livre blanc qui démystifie le sujet en abordant les enjeux et les raisons d’adopter la BI dans son entreprise, avec définitions et démarches pratiques pour la mettre en place. Pour télécharger le livre blanc : www.report-one.fr

Article publié le 29 juillet 2021 – © Les Echos Publishing 2021

La 5G au service de la compétitivité française

Parce qu’elle est porteuse d’innovations de rupture pour de nombreux secteurs clés de l’économie, le Gouvernement lance une stratégie nationale sur la 5G et les futures technologies de réseaux de télécommunications.

Selon le Gouvernement, la 5G représente une opportunité de renforcer la compétitivité française et la capacité de créer des emplois pérennes sur l’ensemble du territoire. Pour accompagner son développement, il vient d’annoncer qu’il s’engageait à mobiliser 480 millions d’euros de financements publics pour soutenir des projets d’ici 2022 (et jusqu’à 735 millions d’ici 2025) pour engranger, par effet de levier, jusqu’à 1,7 milliard d’investissements d’ici 2025.

20 000 emplois

Cette stratégie devrait permettre de créer 20 000 emplois à horizon 2025, pour un marché 5G en France qui devrait atteindre les 15 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Concrètement, cette stratégie vise à soutenir le développement des usages 5G au profit des territoires et de l’industrie ; le développement de solutions françaises sur les réseaux télécoms ; la consolidation des forces de recherche et développement sur les futures technologies de réseaux ; et le renforcement de l’offre de formation. Pour identifier les projets qui pourront être soutenus dans le cadre de la stratégie, l’Appel à manifestation d’intérêt, administré par Bpifrance, « Solutions souveraines pour les réseaux de télécommunications », ouvert depuis le 16 février 2021, est prolongé jusqu’à mi-décembre 2021.

Article publié le 22 juillet 2021 – © Les Echos Publishing 2021

Comment se prémunir des méthodes de piratage les plus courantes

Le site du ministère de l’Économie vient de publier une nouvelle fiche consacrée aux méthodes de piratage des données professionnelles les plus répandues et aux solutions pour y faire face.

Parce que les méthodes de piratage pour s’emparer des données professionnelles évoluent et se diversifient sans cesse, le ministère de l’Économie et des Finances décrit via une fiche les pratiques les plus répandus actuellement et explique pour chacune comment s’en protéger simplement au quotidien.

Du phishing à la clé USB piégée

Sont ainsi évoqués : le phishing, le rançongiciel, le vol de mot de passe, les logiciels malveillants, le faux réseau wifi et la clé USB piégée. Chacun des risques est sommairement défini : la méthode des pirates est décrite mais aussi le but qu’ils poursuivent. Pour chaque méthode de piratage sont présentées des règles à respecter et des pratiques à mettre en place afin de réduire les risques encourus ou leurs conséquences. Chaque fiche renvoie vers d’autres pages ressources permettant d’approfondir le sujet et d’accéder à des conseils ou des outils pour mieux comprendre et lutter contre les cyberattaques. Un lien pointe également vers le guide « La cybersécurité pour les TPE/PME en douze questions », développé par l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) en partenariat avec la Direction générale des entreprises (DGE), téléchargeable gratuitement. Pour consulter la fiche : www.economie.gouv.fr

Article publié le 15 juillet 2021 – © Les Echos Publishing 2021